Génie-civil / Bâtiment, procédé sol liquide

Système de sol liquide / multiples applications version complète imprimable PDF
Rédaction : Christophe Ducry/ ETC3 / Les Moulins 17 / 1563 Dompierre
: David Marchon / ETC3 / Rte de la Tour 60 / 1644 Avry-devant-Pont
Date : 9 mars 2021

Introduction

Le procédé de sol liquide RSS®, propose une solution compacte pour toutes les tâches existantes dans la construction en rapport avec la manipulation des sols et agrégats existants et dans toutes les propriétés finales souhaitées. Ce n’est pas un produit mais une technologie de procédé qui permet d’écouler temporairement tous les types de sols existants et donc de les refixer dans l’alignement « de base » et dans les propriétés mécaniques du sol d’origine et cela sans entrer ni former des structures rigides en pierre de ciment. Le sol reste extensible et peut ainsi se détacher sans problème, même après une refixation complète.

Toutefois, les propriétés finales peuvent être modifiées de manière ciblée à la demande ou à la nécessité, ce qui permet de satisfaire pleinement aux exigences des applications possibles de pose dans les domaines : sous-marin, des égouts, des conduites d’alimentation et de stabilisation des sols, y compris dans les secteurs de la construction routière, du logement et de l’ingénierie. La multitude d’autres applications spéciales possibles, telles que le sol liquide stabilisé thermiquement pour la construction de lignes électriques, les lignes de chauffage urbain et l’immobilisation des polluants éventuellement contenus dans le sol.

L’avantage de l'auto-compactage, c’est qu’il n'exige pas de travail ou de matériel supplémentaire. C'est pourquoi l'effort physique des travailleurs de la construction est fortement diminué et l’économie sur les taxes de décharge est à prendre en compte.

En outre, cette méthode remplit en tous points les obligations légales de la loi sur l’économie circulaire. Du fait de la réduction des quantités d’excavation et de la réutilisation des matériaux, elle réduit grandement les transports et demande un apport en matériel de remblaiement supplémentaire minimum. Ce qui entraine une diminution drastique des émissions de CO2.

Suite de l’article sur la version complète imprimable PDF